BIO:
Duo dirty électro, Ghetto Digital est le fruit de la collaboration de deux amis, Näo et Fluks, artistes électro naviguant entre electronica, post-rock et techno vitaminée.
Le projet nait en 2007 avec l’ambition affichée de produire des tracks résolument dancefloors et dirty. Amoureux des beatboxes et des synthés analogiques, Ghetto Digital produit des sonorités vibrantes et organiques, dont le matériau magmatique se concrétisera sous forme d’un premier EP, sortit le 26 juin 2011 sur Limonade records.
Le projet nait en 2007 avec l’ambition affichée de produire des tracks résolument dancefloors et dirty. Amoureux des beatboxes et des synthés analogiques, Ghetto Digital produit des sonorités vibrantes et organiques, dont le matériau magmatique se concrétisera sous forme d’un premier EP, sortit le 26 juin 2011 sur Limonade records.
PRESENTATION :
L’EP s’ouvre sur un premier titre ravageur, à l’esprit punck rock, alliage de basslines bancales et saturées, drops vrillés et mélodies enlevées.
Le deuxième titre est plus conforme aux canevas de l’electro-house en reposant sur une bassline pumpin et un pied appuyé. Les drops et cut-ups animent le morceau et permettent d’introduire des mélodies lascives contrastant par leur fraîcheur et leur légèreté avec des leads stridants et des basses massives.
Marchant sur les traces de John Lord Fonda ou Vitalic, l’EP prend avec la troisième piste un virage plus techno et « four to the floor ». Leads distordus, charley métalliques et basslines lourdes et entêtantes, donnent à ce titre une couleur plus ravy.
Enfin l’EP se conclue sur une happy-end, M. Moustache. Morceau à la wobble habile et aux glitchs kitchs mais pétillants comme les bulles d’un Perrier-rondelle dans les premiers rayons de soleil d’un lendemain de rave que l’on croyait irréelle.
Le deuxième titre est plus conforme aux canevas de l’electro-house en reposant sur une bassline pumpin et un pied appuyé. Les drops et cut-ups animent le morceau et permettent d’introduire des mélodies lascives contrastant par leur fraîcheur et leur légèreté avec des leads stridants et des basses massives.
Marchant sur les traces de John Lord Fonda ou Vitalic, l’EP prend avec la troisième piste un virage plus techno et « four to the floor ». Leads distordus, charley métalliques et basslines lourdes et entêtantes, donnent à ce titre une couleur plus ravy.
Enfin l’EP se conclue sur une happy-end, M. Moustache. Morceau à la wobble habile et aux glitchs kitchs mais pétillants comme les bulles d’un Perrier-rondelle dans les premiers rayons de soleil d’un lendemain de rave que l’on croyait irréelle.
- Soundcloud
Dispo :
- JunoDownload
- Deezer
- CD1D
- Beatport
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